Cette dernière nouvelle commence à faire peur. Google présente son dernier logiciel: Google Earth. Avec l'image ci-contre, vous comprenez rapidement. Le programme présente les données satellites et géographiques sur un modèle 3D. On peut se déplacer, se rapprocher, s'éloigner, mais aussi changer l'orientation. Dans certaines villes, les bâtiments sont mêmes numérisés, ce qui permet de voir leur volume dans le paysage.
J'ai pu trouver seulement de petits problèmes. Parfois, les données des frontières des pays ou des rues manquent un peu de précision, ce qui fait que les images superposés ne correspondent pas. En se reculant un peu, le problème se règle.
Le plus gros "problème" (s'il en est un) est l'énorme quantité d'informations que l'affichage doit gérer. Si je vais à New York et que j'affiche tout ce que je peux, je ne vois plus les bâtiments tellement il y a d'icônes représentant des restaurants, des hôtels ou des endroits intéressants. Et dans un avenir proche, on peut s'attendre à ce qu'il y en ait encore plus. On peut bien sûr choisir les informations que l'on veut voir, mais l'interface manque selon moi un peu de souplesse.
Le parallèle peut se faire entre le nombre d'informations du web et le nombre d'informations à afficher sur une ville. Au départ, Google avait simplifié le concept d'un moteur de recherche en réduisant tout à une boîte de texte et un bouton. Avec Google Earth, on se retrouve avec une panoplie de boutons, de cases à cocher ou à décocher et de lignes qui se superposent et ne veulent plus rien dire. Ce qu'il faudrait, c'est un Google à l'intérieur de cet amas d'informations pour nous démêler !
Vous aurez aussi la chance de voir l'ouragan Katrina et son évolution de jour en jour...
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